Les différentes conditions qui  Impactent sur la pratique du longe-côte

Marée montante Le niveau de l’eau monte, vous allez donc devoir vous rapprocher du rivage au cours de votre session pour rester au BNI (Bon Niveau d’Immersion). Bien sûr, pensez à mettre vos affaires assez loin de l’eau, il ne faudrait pas les mouiller ! Mis à part cela, votre pratique ne se trouve pas particulièrement impacté.

Pleine mer La surface où vous avez pied est moins importante voir casi inexistante sur certaines plages. Cependant, si votre plage ne connait pas de forte houle creusant le sable, vous aurez pied sur une surface suffisante pour votre session. Le pleine mer est idéal pour le longe-côte de par l’absence de courant à ce moment-là. Faites tout de même attention à l’arrivée de la marée descendante !

Marée descendante La marée descendante est le moment le moins propice pour longer car les courants tirants vers le large sont plus présents à ce moment-là. Il est important de vérifier le coefficient de marée qui sera un bon indicateur pour avoir une idée de la puissance des courants. 

Marée basse A marée basse, vous pouvez longer tranquillement, les courants disparaissent, l’eau est plus calme. De plus, vous rencontrez pas le même danger qu’avec l’arrivée de la marée descendante puisque la marée montante est moins dangereuse.

Forte houle La forte houle est peut-être un rêve pour les surfeurs, mais c’est une autre affaire pour les longeurs ! Elle empêche une bonne pratique de la marche aquatique, elle casse votre rythme et vous sort du BNI. En résumé, la forte houle est l’ennemi du longeur !

Faible houle Une faible houle ou une houle inexistante est idéale pour la pratique du longe-côte. Elle permet de rester au BNI, de ne pas être poussé vers le bord, et surtout de ne pas boire la tasse !

Source :https://longeurs.com/